30 FAITS ESSENTIELS sur la pandémie de Covid-19

Cette liste a été créée à l’origine (en anglais) par Kit Knightly, et publiée sur OffGuardian.org. Nous en avons fait une adaptation libre en français, afin de la rendre disponible à tous les francophones. Nous l’avons quelque peu étoffée, et réécrit certains passages afin de rendre le propos encore plus clair.


Cet exposé des faits essentiels sur la pandémie, se veut une référence pour vous aider à comprendre ce qui est arrivé au monde depuis janvier 2020. Ainsi qu’à éclairer ceux de vos amis qui pourraient être encore piégés dans le brouillard de la Nouvelle Normalité…

I. « Décès Covid » et mortalité
II. Les Confinements
III. Les tests PCR
IV. Les « Infections asymptomatiques »
V. Les Respirateurs (ventilation mécanique)
VI. Les Masques
VII. Les Vaccins
VIII. Tromperie & Prescience

PARTIE I: “DÉCÈS COVID” ET MORTALITÉ

1. Le taux moyen de survie à la Covid est d’au moins 99,5%.

Dès le début de la pandémie, rappelez-vous, de nombreux experts médicaux gouvernementaux ont insisté sur le fait que la grande majorité de la population n’est en aucun cas en danger de mort de la Covid-19.

Presque toutes les études sur le rapport infection-létalité (IFR – infection-fatality ratio) de la Covid, ont donné des résultats compris entre 0,04% et 0,5%.

Cela signifie que le taux de survie pour la Covid est d’au moins… 99,5%.

2. La surmortalité en 2020 n’a pas été spécialement inhabituelle.

La presse anglaise a qualifié 2020 d’année la plus meurtrière du Royaume-Uni depuis la Seconde Guerre mondiale. Cela est trompeur car se basant uniquement sur le nombre de décès, sans tenir compte de l’augmentation massive de la population depuis lors.

Une mesure statistique plus adéquate de la mortalité, est le taux de mortalité standardisé selon l’âge (ASMR Age-Standardised Mortality Rate):

Selon cette mesure, 2020 n’est même pas la pire année de mortalité depuis 2000. En fait, depuis 1943, seulement 9 années ont été moins meurtrières que 2020! De même, aux États-Unis, l’ASMR pour 2020 n’est qu’aux niveaux de 2004:

Pour une ventilation détaillée de la façon dont la Covid a affecté la mortalité en Europe occidentale et aux États-Unis, cliquez ici. Les augmentations de mortalité observées peuvent facilement être attribuables à des causes non liées à la Covid. [faits 7, 9 et 19].

3. Le nombre de décès dus à la Covid est artificiellement gonflé

Des pays du monde entier ont défini un « Décès Covid » (mort Covid) comme un « décès quelle qu’en soit la cause, dans les 28/30/60 jours suivant un test positif » (et donc pas uniquement lorsque la Covid était inscrite comme cause de décès sur le certificat de décès – ndt).

Les responsables de la santé d’Italie, d’Allemagne, du Royaume-Uni, des États-Unis, d’Irlande du Nord et d’autres ont tous admis cette pratique.

Supprimer toute distinction entre mourir de la Covid d’une part, et mourir d’autre chose après avoir été testé positif pour la Covid d’autre part, provoque automatiquement un surcomptage des « décès Covid ».

Un pathologiste britannique, le Dr John Lee, avait mis en garde contre cette « surestimation substantielle » » dès le printemps dernier. D’autres sources « mainstream » l’ont également signalé.

Compte tenu de l’énorme pourcentage de soi-disant « infections asymptomatiques » à la Covid [fait 14], de la prévalence bien connue des comorbidités graves [fait 4], ainsi que du potentiel de tests faussement positifs [fait 18], cela fait du nombre de « décès Covid », une statistique extraordinairement peu fiable.

4. La grande majorité des personnes qui décèdent de la Covid ont des comorbidités graves

En mars 2020, le gouvernement italien a publié des statistiques montrant que 99,2% des personnes décédées de la Covid avaient au moins une comorbidité grave: cancer, maladies cardiaques, démence, maladie d’Alzheimer, insuffisance rénale et diabète (entre autres). Plus de 50% d’entre elles avaient au moins trois affections graves préexistantes.

Cette tendance s’est maintenue dans tous les autres pays au cours de la « pandémie ». Une demande FOIA (Freedom Of Information Act) d’octobre 2020 à l’ONS (Office for National Statistics) du Royaume-Uni a révélé que moins de 10% du nombre officiel de « décès par Covid » à cette époque avaient la Covid comme seule cause de décès.

5. L’âge moyen des « décès Covid » est supérieure à l’espérance de vie moyenne

L’âge moyen d’un « décès de Covid » au Royaume-Uni est de 82,5 ans. En Italie, c’est 86. En Allemagne, 83. En Suisse, 86. Au Canada, 86. Aux États-Unis, 78, en Australie, 82.

Dans presque tous les cas, l’âge médian d’un « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie nationale. En tant que telle, pour la plupart des pays du monde, la « pandémie » a eu peu ou pas d’impact sur l’espérance de vie. Référence

Âge médian des décès dus à la Covid-19, par pays

À comparer avec la grippe espagnole… qui a entraîné une baisse de 28% de l’espérance de vie aux États-Unis en un peu plus d’un an (source).

6. La mortalité due à la Covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle

Des études statistiques au Royaume-Uni et en Inde ont montré que la courbe de « décès Covid » suit presque exactement la courbe de mortalité « normale »:


Le risque de « décès Covid » suit donc, presque exactement, le risque habituel de décès dans un contexte général. La faible augmentation pour certains des groupes d’âge plus âgés, peut facilement s’expliquer par d’autres facteurs. [faits 7, 9 et 19]

7. Il y a eu une augmentation massive de l’utilisation illégale d’ordres « Ne pas réanimer! » (DNR)

Un ordre de non réanimation ou « ne pas réanimer » (DNR), est l’ordre donné aux prestataires de soins de santé de ne pas effectuer de réanimation cardio-respiratoire sur un patient en arrêt cardiaque.

Des organismes de défense des droits et des agences gouvernementales ont signalé une augmentation considérable de l’utilisation des ordres de non-réanimation (DNR) au cours des vingt derniers mois.

Aux États-Unis, des hôpitaux ont envisagé de systématiser les DNR pour tout patient testé positif pour la Covid, et des infirmières lanceuses d’alerte ont admis que le système DNR avait été employé abusivement à New York.

Au Royaume-Uni, il y a eu une augmentation « sans précédent » des DNR « illégaux » pour les personnes handicapées. Des cabinets de médecins généralistes ont envoyé des courriers à des patients qui n’étaient pas en phase terminale, leur recommandant de signer des ordonnances de DNR… tandis que d’autres médecins ont signé des « DNR généraux » pour des maisons de retraite entières.

Une étude réalisée par l’université de Sheffield a révélé que plus d’un tiers de tous les patients pour lesquels on suspectait une infection par la Covid avaient un DNR joint à leur dossier dans les 24 heures suivant leur admission à l’hôpital.

Cette utilisation généralisée d’ordres de non réanimation, forcés ou illégaux, pourrait peut-être à elle seule expliquer l’augmentation de la mortalité en 2020/21 par rapport aux années immédiatement précédentes. [Faits 2 & 6]

PARTIE II: LES CONFINEMENTS

8. Les confinements n’empêchent pas la propagation des maladies

Il y a peu ou pas de preuves que les confinements aient un impact positif sur le nombre de « décès Covid ».

Si on compare des régions confinées à des régions qui ne l’ont pas été, on ne peut voir aucune tendance significative. En voici deux exemples:

Décès dû à la Covid » en Floride (pas de confinement) vs. la Californie (confinement)

 

“Décès Covid” en Suède (pas de confinement) vs. Royaume-Uni (confinement)

9. Les confinements tuent

Il existe des preuves solides que les confinements – par le biais de dommages sociaux, économiques et autres pour la santé publique – sont plus mortels que le virus.

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation mondiale de la santé pour Covid-19, a qualifié les confinements de « catastrophe mondiale » en octobre 2020:

Nous, à l’Organisation mondiale de la santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle du virus[…] il semble que nous pourrions avoir un doublement de la pauvreté dans le monde d’ici l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile […] C’est une terrible et horrible catastrophe mondiale.

Un rapport de l’ONU d’avril 2020 a mis en garde contre le décès de 100 000 enfants à cause de l’impact économique des confinements, tandis que des dizaines de millions d’autres pourraient être confrontés à la pauvreté et à la famine.

Le chômage, la pauvreté, le suicide, l’alcoolisme, la consommation de drogues et d’autres crises sociales et de santé mentale augmentent partout dans le monde. Alors que les interventions chirurgicales et les dépistages annulés et retardés vont entraîner dans un futur proche une augmentation de la mortalité due aux maladies cardiaques, cancers,…

L’impact des confinements pourrait expliquer une bonne partie des (faibles) augmentations de la surmortalité. [Faits 2 & 6]

10. Les hôpitaux n’ont jamais été anormalement surchargés

Le principal argument utilisé pour défendre l’instauration des confinements (et récemment pour défendre les campagnes de vaccination, puisque qu’il est à présent admis que cette dernière ne prévient pas la transmission du virus), est que « l’aplatissement de la courbe » empêcherait un afflux rapide de cas et protégerait les systèmes de santé de l’effondrement.

Mais la plupart des systèmes de santé n’ont jamais été sur le point de s’effondrer.

En mars 2020, il a été signalé que les hôpitaux d’Espagne et d’Italie débordaient de patients, mais cela se produit à chaque saison de grippe.

En 2017, les hôpitaux espagnols étaient à 200% de leur capacité et en 2015 il est arrivé que des patients doivent dormir dans les couloirs.

Un article de JAMA Network (journal édité par l’American Medical association – ndt) de mars 2020 a révélé que les hôpitaux italiens « fonctionnent généralement à 85-90% de leur capacité pendant les mois d’hiver« .

Au Royaume-Uni, le NHS (National Health Service – ndt) est régulièrement proche du point de rupture pendant l’hiver.

Dans le cadre de sa politique Covid, le NHS a annoncé au printemps 2020 qu’il « réorganiserait la capacité hospitalière afin de traiter les patients Covid et non-Covid séparément » et que « par conséquent, les hôpitaux subiront des pressions sur leur capacité à un niveau global inférieur au taux d’occupation existant auparavant« .

Cela signifie qu’ils ont supprimé des milliers de lits. Au cours d’une prétendue « pandémie mortelle », ils ont réduit l’occupation maximale possible des hôpitaux.

Malgré cela, le NHS n’a jamais ressenti de pression supérieure à celle d’une saison grippale typique, et avait parfois en fait 4 fois plus de lits vides que la normale.

Au Royaume-Uni et aux États-Unis, des millions ont été dépensés pour des hôpitaux de campagne qui n’ont jamais été utilisés.

PARTIE III: LES TESTS PCR

11. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer une maladie.

Le test Reverse-Transcriptase Polymerase Chain Reaction (RT-PCR), est considéré dans la plupart des grands médias comme la référence absolue pour le diagnostic de Covid. Pourtant l’inventeur du procédé, Kary Mullis, lauréat du prix Nobel, n’a jamais eu l’intention de l’utiliser comme outil de diagnostic et l’a déclaré publiquement:

La PCR est juste un processus qui vous permet de faire beaucoup de « quelque chose » à partir de « quelque chose ». Cela ne vous dit pas si vous êtes malade, ou si ce que vous avez attrapé allait vous faire du mal, ou quelque chose comme ça.

12. Les tests PCR ont toujours été approximatifs et peu fiables

Les tests PCR « de référence » pour la Covid sont connus pour produire de nombreux résultats faussement positifs, en réagissant à du matériel ADN qui n’est pas spécifique au Sars-Cov-2.

Une étude chinoise a révélé que le même patient pouvait obtenir deux résultats différents du même test le même jour. En Allemagne, des tests PCR ont réagi aux virus du rhume.

Une étude de 2006 a révélé que des tests PCR élaborés pour un virus spécifique réagissaient également à d’autres virus. En 2007, une « épidémie » de coqueluche a été déclarée sur la foi de résultats de tests PCR, alors qu’elle n’a jamais réellement existé. Certains tests aux États-Unis ont même réagi à un échantillon de contrôle négatif.

Le défunt président de la Tanzanie, John Magufuli, a soumis des échantillons de chèvre, de papaye et d’huile de moteur pour des tests PCR. Tous sont revenus positifs au virus.

Dès février 2020, les experts admettaient que le test n’était pas fiable.

Le Dr Wang Cheng, président de l’Académie chinoise des sciences médicales, a déclaré à la télévision d’État chinoise « La précision des tests n’est que de 30 à 50% ». Le site Web du gouvernement australien a affirmé qu' »il existe des preuves limitées pour évaluer l’exactitude et l’utilité clinique des tests COVID-19 disponibles ». Et un tribunal portugais a statué que les tests PCR n’étaient « pas fiables » et ne devaient pas être utilisés pour le diagnostic.

Vous pouvez consulter les données détaillées des échecs des tests PCR ici, ici et ici.

13. Les valeurs CT utilisées avec les test PCR sont trop élevées

Le CT (Cycle Threshold), est le nombre de cycles d’amplification nécessaires pour atteindre une valeur seuil de fluorescence, qui permette de déclarer que l’échantillon est positif au Sars-CoV-2. C’est le principe du test PCR: dupliquer des séquences génétiques virales contenues dans un échantillon prélevé chez un patient, au cours de cycles d’amplification successifs, jusqu’à pouvoir les détecter.

Tels que pratiqués aujourd’hui dans la plupart des pays (avec des variations d’un pays à l’autre), les tests RT-PCR considèrent comme positif tout échantillon ayant un Ct allant jusqu’au maximum prévu par le fournisseur de la machine et du kit de réactifs, soit bien souvent plus de 40.

Kary Mullis (biochimiste américain, a reçu le prix Nobel de chimie en 1993 pour l’invention de la réaction en chaîne par polymérase – ndt) a déclaré:

Si vous devez effectuer plus de 40 cycles […], il y a quelque chose qui ne va vraiment pas avec votre PCR.

Ceci est en accord avec les directives MIQE PCR, qui déclarent que: « Les valeurs [CT] supérieures à 40 sont suspectes en raison de la faible efficacité implicite et ne doivent généralement pas être signalées », le Dr Fauci lui-même a admis que tout ce qui dépasse 35 cycles n’est presque jamais cultivable.

Le Dr Juliet Morrison, virologue à l’Université de Californie à Riverside, a déclaré au New York Times: « Tout test avec un seuil de cycle supérieur à 35 est trop sensible… Je suis choquée que les gens pensent que 40 [cycles] pourraient représenter un résultat positif… Un seuil plus raisonnable serait de 30 à 35« .

Dans le même article, le Dr Michael Mina, de la Harvard School of Public Health, a déclaré que la limite devrait être de 30, et l’auteur poursuit en soulignant que la réduction du CT de 40 à 30 aurait réduit les « cas covid » dans certains États jusqu’à 90%.

Les propres données du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) suggèrent qu’aucun échantillon de plus de 33 cycles ne pourrait être cultivé, et l’Institut allemand Robert Koch déclare que rien au-delà de 30 cycles n’est susceptible d’être infectieux.

Malgré cela, il est connu que presque tous les laboratoires aux États-Unis effectuent leurs tests avec au moins 37 cycles et parfois jusqu’à 45. La « procédure opératoire standard » du NHS pour les règles de tests PCR fixe la limite à 40 cycles.

Sur la base de ce que nous savons des valeurs CT, la majorité des résultats des tests PCR sont dès lors, au mieux, discutables.

14. L’Organisation Mondiale de la Santé a admis (par deux fois) que les tests PCR produisent des faux positifs

En décembre 2020, l’OMS a publié une note d’information sur le processus de PCR demandant aux laboratoires de se méfier des valeurs CT élevées provoquant des résultats faussement positifs: Lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir.

Puis, en janvier 2021, l’OMS a publié une autre note, avertissant cette fois que les tests PCR positifs de sujets « asymptomatiques » devraient être retestés car ils pourraient être de faux positifs: Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT (Nucleic Acid Test – ndt) ou une technologie différente.

15. Les bases scientifiques des tests PCR Covid sont discutables

Le génome du virus Sars-Cov-2 aurait été séquencé par des scientifiques chinois en décembre 2019, puis publié le 10 janvier 2020. Moins de deux semaines plus tard, des virologues allemands (notamment Christian Drosten) auraient utilisé ce génome pour créer des tests PCR.

Ces virologues ont écrit un article, Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel, qui a été soumis pour publication le 21 janvier 2020, puis accepté le 22 janvier. Cela signifie que le document aurait été relu par des pairs (« peer-reviewed » en anglais – ndt) en moins de 24 heures..? Un processus qui prend généralement des semaines..?!

Depuis lors, un consortium de plus de quarante scientifiques du domaine de la recherche sur le vivant, a demandé le retrait de l’article, écrivant un long rapport détaillant 10 erreurs majeures dans la méthodologie de l’article.

Ces scientifiques ont également demandé la publication par la revue du rapport d’examen, pour prouver que l’article serait vraiment passé par ce processus d’examen. Cette demande n’a toujours pas été satisfaite.

Les tests Corman-Drosten sont à la base de tous les tests PCR Covid dans le monde. Si l’article est discutable, chaque test PCR est, également, discutable.

PARTIE IV: INFECTIONS ASYMPTOMATIQUES?

16. Dans leur grande majorité, les personnes « infectées par la Covid » n’auraient aucun symptôme?

Dès mars 2020, des études réalisées en Italie suggéraient que 50 à 75% des personnes testées positives au Coronavirus ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude britannique d’août 2020 a révélé que 86% des « patients Covid » ne présentaient aucun symptôme viral.

Il semble donc littéralement impossible, de faire la différence entre un « cas asymptomatique » et un résultat de test faussement positif.

17. Il n’y a quasiment aucune preuve de transmission du virus par les « asymptomatiques »

En juin 2020, le Dr Maria Van Kerkhove, chef de l’unité Maladies émergentes et zoonoses de l’OMS, a déclaré:

D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette effectivement à un autre individu.

Une méta-analyse des études Covid, publiée par le Journal of the American Medical Association (JAMA) en décembre 2020, a révélé que les « porteurs asymptomatiques » avaient moins de 1% de chances d’infecter des personnes au sein de leur foyer.

Et de toute façon compte tenu des défauts connus des tests PCR, on est en droit de se demander si ces « cas asymptomatiques » ne sont pas, dans leur majorité, simplement des faux positifs. [fait 14]

PARTIE V: LES RESPIRATEURS (assistance respiratoire, ventilation artificielle)

18. La ventilation artificielle n’est pas un traitement contre les virus respiratoires

La ventilation mécanique n’est pas, et n’a jamais été, un traitement recommandé pour les infections respiratoires de quelque nature que ce soit. Au début de la pandémie, de nombreux médecins se sont manifestés pour critiquer l’utilisation de respirateurs pour traiter la Covid.

Dans l’hebdomadaire anglais The Spectator, le Dr Matt Strauss a déclaré:

Les respirateurs ne guérissent aucune maladie. Ils peuvent remplir vos poumons d’air lorsque vous vous trouvez incapable de le faire vous-même. Ils sont associés aux maladies pulmonaires dans l’esprit du public, mais ce n’est en fait pas leur application la plus courante ou la plus appropriée.

Le pneumologue allemand Dr Thomas Voshaar, président de l’Association of Pneumatological Clinics, a déclaré:

Lorsque nous avons lu les premières études et rapports de Chine et d’Italie, nous nous sommes immédiatement demandé pourquoi l’intubation était si courante là-bas. Cela contredisait notre expérience clinique avec la pneumonie virale.

Malgré cela, l’OMS, le CDC, l’ECDC et le NHS ont tous « recommandé » que les patients Covid soient mis sous ventilation au lieu d’utiliser des méthodes non invasives. Il ne s’agissait pas d’une politique médicale conçue pour traiter au mieux les patients, mais plutôt pour réduire la propagation hypothétique de la Covid en empêchant les patients d’exhaler des gouttelettes d’aérosol.

D’où…

19. Les respirateurs tuent

Mettre sous respirateur quelqu’un qui souffre de la grippe, d’une pneumonie, d’une maladie pulmonaire obstructive chronique ou de toute autre affection qui restreint la respiration ou affecte les poumons, n’atténuera aucun de ces symptômes. En fait, cela aggravera presque certainement la situation, et tuera beaucoup de malades.

Les tubes d’intubation sont une source potentielle d’infection connue sous le nom de « pneumonie associée au respirateur », qui, selon des études, affecte jusqu’à 28% de toutes les personnes sous respirateur et tue 20 à 55% des personnes infectées.

De plus, la ventilation mécanique endommage la structure physique des poumons, entraînant des « lésions pulmonaires induites par le respirateur« , qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie et même entraîner la mort.

Les experts estiment que 40 à 50% des patients placés sous ventilation mécanique meurent, quelle que soit leur maladie. Dans le monde, entre 66 et 86% de tous les « patients Covid » mis sous respirateur sont décédés.

Cette politique de placement sous respiration artificielle était au mieux, de la négligence; au pire, un meurtre de masse potentiellement délibéré?

Cette mauvaise utilisation de la ventilation mécanique pourrait, au même titre que les ordres de non réanimation et les confinements, expliquer une grande partie de la surmortalité en 2020/21. [Faits 2 & 6]

PARTIE VI: LES MASQUES

20. Les masques ne sont pas efficaces

Au moins une douzaine d’études scientifiques ont montré que les masques n’arrêtent pas la propagation des virus respiratoires.

Une méta-analyse publiée par le CDC en mai 2020 n’a révélé « aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques faciaux« .

Une autre étude portant sur plus de 8’000 sujets a révélé que les masques « ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques« .

Il y en a littéralement trop pour les citer toutes, mais vous pouvez les lire ici: [1][2][3][4][5][6][7][8][9][10]. Ou lire un résumé sur le site Swiss Policy Research.

Alors que certaines études prétendent montrer que les masques fonctionnent pour limiter la propagation du coronavirus, elles sont toutes sérieusement bancales. L’une s’est appuyée sur des enquêtes dont les données étaient rapportées par les participants eux-mêmes! Un autre a été si mal conçue qu’un panel d’experts a exigé qu’elle soit retirée. Une troisième a été retirée après que ses prédictions se soient avérées totalement inexactes.

Une méta-analyse commissionnée par l’OMS est parue dans The Lancet (revue scientifique médicale hebdomadaire britannique – ndt), mais cette étude n’a porté que sur les masques N95 et uniquement dans les hôpitaux. [Pour un aperçu complet des données erronées de cette étude, cliquez ici.]

En plus des données scientifiques, il existe de nombreuses preuves empiriques que les masques ne sont d’aucune utilité pour arrêter la propagation des maladies.

Par exemple, le Dakota du Nord et le Dakota du Sud ont eu des chiffres de cas presque identiques, bien que l’un ait rendu le masque obligatoire et l’autre pas:

Au Kansas, les comtés sans obligation du port de masque ont eu moins de « cas » Covid que les comtés où le masque est obligatoire. Et bien que les masques soient très courants au Japon, ils ont connu leur pire épidémie de grippe depuis des décennies en 2019.

21. Les masques sont mauvais pour la santé

Porter un masque pendant de longues périodes, porter le même masque plus d’une fois, peut être mauvais pour votre santé (ainsi que d’autres problèmes avec les masques en tissu). Une longue étude sur les effets néfastes du port du masque a été récemment publiée par l’International Journal of Environmental Research and Public Health (ce document pdf prend une dizaine de secondes à télécharger – ndr.)

Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il observait une augmentation des pneumonies bactériennes, des infections fongiques et des éruptions cutanées sur le visage.

Les masques contiennent également des microfibres en plastique, qui lorsqu’elles sont inhalées peuvent endommager les poumons, voire être potentiellement cancérigènes.

Les enfants portant des masques encouragent la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations du visage.

22. Les masques sont mauvais pour la planète

Des milliards de masques jetables sont utilisés chaque mois depuis plus d’un an.

Un rapport de l’ONU a révélé que la pandémie de Covid19 entraînera probablement un doublement des déchets plastiques au cours des prochaines années, et la grande majorité de ceux-ci sont des masques faciaux.

Le rapport poursuit en avertissant que ces masques (et autres déchets médicaux) obstrueront les systèmes d’égouts et d’irrigation, ce qui aura des effets néfastes sur la santé publique, l’irrigation et l’agriculture.

Une étude de l’Université de Swansea a révélé que « des métaux lourds et des fibres plastiques étaient libérés lorsque des masques jetables étaient immergés dans l’eau ». Ces matériaux sont toxiques pour les humains et pour la faune.

PARTIE VII: LES VACCINS

23. La plupart des « vaccins » actuels contre la Covid sont sans précédent

Avant 2020, aucun vaccin efficace contre un coronavirus humain n’avait jamais été développé. Depuis lors, 20 auraient été mis au point en 18 mois…?

Les scientifiques tentaient de développer un vaccin contre le SRAS et le MERS depuis des années… avec fort peu de succès. Certains des vaccins contre le SRAS qui ont échoué ont en fait provoqué une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris de laboratoire vaccinées, pouvaient potentiellement contracter la maladie plus gravement que les souris non vaccinées. Une autre tentative a causé des dommages au foie chez les furets.

Alors que les vaccins traditionnels fonctionnent en exposant le corps à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, la quasi totalité des vaccins anti-Covid administrés en Europe et aux USA ont des modes d’action non traditionnels.

Les plus administrés sont les vaccins dits à ARN messager (ARNm).

Ces vaccins à ARNm fonctionnent en injectant de l’ARNm viral dans le corps, où il se réplique à l’intérieur de vos cellules, qui se mettent à fabriquer les péplomères (« protéines spike »/ »spicules ») du virus. Le système immunitaire est ainsi poussé à reconnaître et à fabriquer des antigènes contre ces péplomères.

Ce type de vaccins fait l’objet de recherches depuis les années 1990, mais avant 2020, aucun vaccin à ARNm n’avait jamais été approuvé.

24. Ces vaccins ne confèrent pas d’immunité et n’empêchent pas la transmission

Voilà un point central, d’une importance extrême, signant l’absurdité totale des pass sanitaires et des mesures fascistes envers les non-vaccinés.

En effet depuis le printemps 2021, c’est à présent un fait scientifique indiscutable (même si les grands médias, une grande partie du monde politique, et la croyance populaire, continuent malheureusement à s’attacher stupidement à l’idée contraire…) que les « vaccins » actuels contre la Covid utilisés dans les sociétés occidentales ne confèrent pas d’immunité contre l’infection et ne vous empêchent pas de transmettre la maladie à d’autres.

Un article du British Medical Journal a souligné que les études originelles des fabricants de ces vaccins n’étaient même pas conçues pour essayer d’évaluer si les « vaccins » limitaient la transmission. Les fabricants de vaccins eux-mêmes, lors de la sortie des thérapies géniques à ARNm non testées, ont clairement indiqué que « l’efficacité » de leur produit était basée sur la « réduction de la gravité des symptômes« .

Pourtant, tant de discours malodorants actuels s’appuient sur le mensonge que les personnes vaccinées contre la Covid-19 seraient moins dangereuses les unes pour les autres… et que les non-vaccinés seraient un danger pour la société.

Ces discours malodorants ne sont que pure propagande, une nouvelle forme de dogmatisme religieux et de fascisme. Rien, scientifiquement ou rationnellement, ne peut justifier de telles opinions, qui sont d’un niveau aussi répugnant que toutes les autres dénonciations historiques de boucs émissaires: les sorcières, les étrangers, les femmes, les noirs, les juifs, les homosexuels!

Honte à quiconque se complait dans ce mensonge inhumain et malfaisant.

25. Les vaccins ont été développés à la va-vite et ont des effets à long terme inconnus

Le développement d’un vaccin est normalement un processus lent et laborieux. Habituellement, du développement aux tests et finalement à l’approbation pour un usage public, il faut de nombreuses années.

Les différents vaccins contre la Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. De toute évidence, il ne peut y avoir de données de sécurité à long terme sur des produits chimiques datant de moins d’un an.

Pfizer admet que cela est vrai dans le contrat d’approvisionnement divulgué entre le géant pharmaceutique et le gouvernement albanais:

Les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus.

De plus, aucun des vaccins n’a fait l’objet d’essais appropriés. Beaucoup d’entre eux ont complètement ignoré les essais de stade précoce, les essais humains de stade avancé n’ont pas été examinés par des pairs, n’ont pas vu leurs données publiées, ne se termineront pas avant 2023 et/ou ont été abandonnés après des « effets indésirables graves ».

Très rassurant!

26. Les fabricants de vaccins ont obtenu l’immunité légale (absence de responsabilité) dans le cas où leurs produits causeraient des dommages

Le Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP) des États-Unis accorde l’immunité jusqu’en 2024 au moins.

La loi de l’UE sur les licences de produits fait de même, et il existe des rapports sur des clauses de responsabilité confidentielles dans les contrats que l’UE a signés avec les fabricants de vaccins.

Le Royaume-Uni est allé encore plus loin, accordant une indemnité légale permanente au gouvernement, et à tous ses employés, pour tout préjudice causé lorsqu’un patient est traité pour Covid-19 ou « soupçonné de Covid-19 ».

Encore une fois, le contrat albanais divulgué suggère que parmi les fabricants, Pfizer au moins a fait de cette indemnité une demande standard de fourniture de vaccins Covid:

L’acheteur accepte par la présente d’indemniser, de défendre et de dégager Pfizer […] de et contre tous les procès, réclamations, actions, demandes, pertes, dommages, responsabilités, règlements, pénalités, amendes, coûts et dépenses.

PARTIE VIII: TROMPERIE ET PRESCIENCE

27. L’UE préparait déjà des « passeports vaccinaux » au moins un an avant le début de la pandémie.

Les contre-mesures COVID proposées, présentées au public comme des mesures d’urgence « improvisées », existent en fait depuis avant l’émergence de la maladie.

Deux documents de l’UE publiés en 2018, le « 2018 State of Vaccine Confidence » et un rapport technique intitulé « Conception et mise en œuvre d’un système d’information sur la vaccination » ont discuté de la plausibilité d’un système de surveillance de la vaccination à l’échelle de l’UE.

Ces documents ont été regroupés dans la « Feuille de route vaccinale » 2019 qui a établi (entre autres) une « étude de faisabilité » sur les passeports vaccinaux commençant en 2019 et se terminant en 2021:

Les conclusions finales de ce rapport ont été rendues publiques en septembre 2019, juste un mois avant l’Event 201 (voir ci-dessous).

28. Un « exercice d’entrainement » a prévu la pandémie quelques semaines seulement avant qu’elle ne commence…

En octobre 2019, le Forum économique mondial et l’Université Johns Hopkins ont organisé l’événement 201. Il s’agissait d’un exercice d’entraînement basé sur un coronavirus zoonotique déclenchant une pandémie mondiale. L’exercice a été parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates et GAVI, l’alliance vaccinale.

Suite à cet exercice, des conclusions et recommandations ont été publiées en novembre 2019 comme un « appel à l’action« . Un mois plus tard, la Chine enregistrait son premier cas de « Covid »…

29. Depuis début 2020, la grippe aurait « disparu »?

Aux États-Unis, depuis février 2020, les cas de grippe auraient diminué de plus de 98%.

Il n’y a pas qu’aux les États-Unis: la grippe aurait apparemment presque complètement disparu au niveau mondial…

Dans le même temps, une nouvelle maladie appelée « Covid-19 », qui présente des symptômes identiques à la grippe et un taux de mortalité similaire, affecte apparemment toutes les personnes qui normalement auraient été touchées par la grippe dans les mêmes périodes saisonnières?…

30. Les riches sont devenus encore plus riches pendant la pandémie

Depuis le début des confinements, les plus riches sont devenus considérablement plus riches. Forbes a rapporté que 40 individus actifs dans la « lutte contre le coronavirus » sont devenus milliardaires, dont 9 fabricants de vaccins.

Business Insider a rapporté que « les milliardaires ont vu leurs avoirs nets augmenter d’un demi-billion de dollars » en octobre 2020.

Il est clair que ce nombre devrait être encore plus grand à ce jour.