Que faire face à la pulsion génocidaire des « vaccinextrémistes »?

Article paru dans Le Courrier des Stratèges

Il est assez impressionnant de voir la pulsion génocidaire des vaccinés croître de façon exponentielle en Europe ces derniers jours.

En Allemagne, des graffitis appellent à ne plus fréquenter les commerces ouverts aux non-vaccinés. En Belgique, des médecins suggèrent de ne plus soigner les non-vaccinés de façon prioritaire lorsqu’ils sont gravement malades. En France, le président de la Fédération des Radiologues propose d’empêcher les non-vaccinés de se rendre dans les magasins d’alimentation. On n’est plus très loin des pogroms.

Que faire face à cette montée de l’appel à la violence ? Voici notre appel à se défendre efficacement.

La pulsion génocidaire est un serpent de mer dans l’histoire humaine. Elle a sévi plusieurs fois au vingtième siècle, et nous la voyons revenir chez les vaccinés, convaincus de façon irrationnelle que les non-vaccinés mettent leur vie en danger. C’est la peur de la mort qui parle en eux, et cette peur, la raison est incapable de la maîtriser. Elle pousse historiquement les majorités terrorisées par leurs angoisses à désigner un bouc-émissaire pour exorciser ces angoisses, au besoin par le sacrifice vital.

Montée de la pulsion génocidaire

La pulsion génocidaire s’exprime aujourd’hui de façon grandissante, notamment par l’appel à “rendre la vie des non-vaccinés impossibles”, déclinée sous de nombreuses formes. En Allemagne, ce sont des graffiti anti-non-vaccinés qui apparaissent sur certaines vitrines, comme on le voit ici.

En Belgique, ce sont des universitaires qui proposent de soigner les non-vaccinés après les vaccinés (ce qui indique bien que le vaccin n’empêche pas de finir à l’hôpital). En France, le Président de la Fédération des Médecins Radiologues (FNMR), Jean-Philippe Masson, propose d’empêcher les non-vaccinés d’accéder aux magasins d’alimentation.

Nous avons déjà cité l’affaire de Stéphanie, jeune femme de 33 ans, que l’Institut Curie a empêché d’accéder à ses locaux en faisant intervenir la Brigade Anti-Criminelle (BAC). Pour ceux qui ne l’aurait pas vue, nous la remettons ici en mémoire :

 

Tous ces éléments sont autant de signaux de moins en moins faibles sur la violence que de nombreux vaccinés jugent nécessaires pour “régler” la crise sanitaire, qui sévit pourtant plus brutalement qu’avant la vaccination. Que ne ferait-on pas pour s’enferrer dans sa logique et ne jamais reconnaître ses erreurs ?

Que faire face à cette pulsion génocidaire ?

Il ne faut surtout pas laisser prospérer cette haine avec indifférence. Au contraire, il faut clairement montrer les dents et démasquer la violence qui se cache derrière le visage maussade des bureaucrates qui prétendent obéir simplement aux ordres. Notre meilleure arme est de porter la lumière sur ces agissements qui prospèrent grâce à l’impunité de l’anonymat.

C’est pourquoi il est indispensable que nous nous mobilisions pour actionner cette mise en lumière. Cette mobilisation passe notamment par les campagnes de shaming que l’association Rester libre ! organise.

Associez-vous à cette campagne (cela prend 5 minutes)… soyons des milliers à agir, c’est la meilleure façon de neutraliser tous ceux qui auraient l’intention d’outrepasser la loi et qui se sentiraient pousser des ailes.

Ensemble, nous serons les plus forts et nous les ferons reculer.

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