Critique de la vaccination Covid actuelle, opposé à la vaccination des enfants… le directeur de recherches du CNRS serait donc un « complotiste »?

Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS

« On se dirige vers une catastrophe sanitaire sans précédent. »

« En poursuivant les injections répétées de cette composition vaccinale imparfaite, nous allons immanquablement dans le mur. »

« Ce n’est pas la question d’être antivax. C’est particulier à ce(s) vaccin(s), qui pose(nt) un vrai problème. »

« La vaccination des enfants n’a pas de justification sanitaire. »

Dans une longue interview très fouillée (et par moments très technique!), Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche du Centre National de Recherche Scientifique français, a confié à France-Soir ses vues sur la pandémie de Covid-19 (aussi -improprement- appelée pandémie de « Coronavirus »).

Les propos de Sabatier -abondamment étayés- sur une approche rationnelle et scientifique de cette pandémie, sur la vaccination Covid (avec les vaccins actuels, quasiment tous basés sur la spicule ou protéine Spike du virus), et en particulier la vaccination des enfants, sont très critiques envers les vues « officielles » et envers les politiques vaccinales que poursuivent aveuglément et obstinément nos dirigeants et certaines instances sanitaires.

Va-t-on traiter de « complotiste » le directeur de recherches d’une institution scientifique parmi les plus prestigieuses d’Europe? Et essayer de le décrédibiliser, voire le museler, parce qu’il aura eu l’audace de ne pas abonder dans le sens du dogme professé en cœur par nos dirigeants et les médias de masse? On dirait que le processus est déjà en cours, comme il l’a malheureusement été pour les plus brillants experts mondiaux tels que le Dr. Robert Malone, le Dr. Peter Mc Cullough, le Dr. Sucharit Bhakdi, le Dr. Didier Raoult

Nous vous proposons ici un condensé de cette très longue interview paru en trois parties sur le site de France-Soir.


En préambule, afin de pouvoir suivre les explications de Jean-Marc Sabatier au sujet des vaccins actuels contre la COVID-19, il faut savoir qu’il existe trois types d’anticorps générés par le système immunitaire:

    • Les anticorps ‘’neutralisants’’, qui vont combattre le virus. Leur production est celle souhaitée lors d’une vaccination;
    • Les anticorps ‘’neutres’’, qui vont reconnaître la protéine Spike du SARS-CoV-2 impliquée dans l’infection des cellules, mais ne seront pas protecteurs ;
    • Les anticorps ‘’facilitants’’, qui contrairement aux anticorps ‘’neutralisants’’, vont favoriser l’infection des cellules par le virus. Ce sont ces anticorps qu’il faut éviter de produire lors d’une vaccination.

Tous les vaccins actuels basés sur la protéine Spike du SARS-CoV-2, font produire ces trois types d’anticorps.

Laissons maintenant la parole à Jean-Marc Sabatier.


« Les personnes vaccinées qui seront infectées par les nouveaux variants pourront faire des formes plus sévères que si elles n’étaient pas vaccinées. »

« Initialement (avec l’action des vaccins Covid, ndlr) la balance anticorps neutralisants/anticorps facilitants était très favorable aux anticorps neutralisants, c’est-à-dire que les vaccins étaient efficace en termes de neutralisation. Il y a eu une dérive progressive (au fil des variants, ndlr) qui a conduit à une balance anticorps neutralisants/anticorps facilitants défavorable.

Et lorsqu’on va faire des rappels vaccinaux multiples (troisième, quatrième, voire cinquième injection, etc.), le rapport bénéfice/risque de la vaccination va être de plus en plus défavorable.

À vouloir trop protéger en faisant produire des anticorps neutralisants, finalement, on fait l’inverse. On va donc augmenter la proportion d’anticorps facilitants par rapport aux anticorps neutralisants.

Nous n’aurons plus une protection vaccinale, mais au contraire une facilitation vaccinale, avec une infection cellulaire facilitée. Ainsi, les personnes qui seront infectées par les nouveaux variants pourront faire des formes plus sévères que si elles n’étaient pas vaccinées.

[…] en voulant améliorer l’immunité des personnes vis-à-vis du Sars-CoV-2 avec des rappels vaccinaux basés sur une protéine Spike obsolète (car issue du virus initial de Wuhan qui ne circule plus depuis près de 18 mois), on fait l’inverse, c’est-à-dire qu’on va les fragiliser. Les personnes infectées par certains variants pourraient ainsi développer plus facilement des formes sévères ou létales de la maladie.

[Le variant] Omicron devrait rapidement prendre le relai du [variant] Delta […] sa dangerosité est moindre que le Delta, et bien sûr, bien moindre que la souche initiale de Wuhan. Le Delta est à peu près quatre fois moins dangereux que la souche de Wuhan qui a disparu en quelques mois, et qui ne circule plus depuis environ 18 mois.

« plus on va vacciner et multiplier les doses de rappel, plus on va sélectionner les variants qui sont résistants au vaccin »

La faible létalité du variant Omicron à ce jour montre clairement qu’il induit principalement des formes légères de la Covid-19. […] Les souches deviennent de plus en plus contagieuses, mais dans tous les cas, elles deviennent parallèlement de moins en moins dangereuses.

[…] plus on va vacciner et multiplier les doses de rappel, plus on va sélectionner les variants qui sont résistants au vaccin, à savoir les variants qui vont émerger de la vaccination.

[…]  ce qui est le plus préoccupant au regard de la vaccination et […] ce n’est pas dans l’immédiat le phénomène ADE, c’est la toxicité qui est liée à la protéine Spike vaccinale.

Le phénomène ADE

Si vous voulez qu’un vaccin soit un très bon vaccin, […]  il doit d’abord être efficace contre le microbe contre lequel il est dirigé. […] Et l’autre point  c’est qu’il y ait une innocuité vaccinale, c’est-à-dire que le vaccin ne soit pas dangereux pour l’organisme qui le reçoit. En d’autres termes, qu’il n’ait pas d’effets secondaires liés à l’injection du vaccin. […]  Et là, actuellement, ce n’est pas le cas.

[…]

[Nous voyons] des thromboses, des thrombocytopénies, des myocardites et péricardites, des maladies auto-immunes par exemple des diabètes, de l’hémophilie acquise, des thyroïdites de Hashimoto, des scléroses-en-plaques, des sclérodermies, des polyarthrites rhumatoïdes, et autres. Ainsi de nombreuses maladies auto-immunes apparaissent ou s’aggravent. Idem pour les cancers et troubles neurologiques.

« Ces rappels multiples sont à haut risque pour la santé […] des personnes qui les reçoivent. »

[…] le diabète de type 2 est dû à une intolérance au glucose tandis que le diabète de type 1 est d’origine auto-immune. On voit les deux qui apparaissent (après la vaccination, ndlr).

Le diabète

Ces rappels multiples sont à haut risque pour la santé — à plus ou moins long terme — des personnes qui les reçoivent. Pourquoi? Parce que l’efficacité vaccinale est devenue quasiment obsolète tandis que les effets délétères visibles et encore invisibles de la protéine Spike sont toujours bien présents et s’intensifient au fil des rappels.

« les effets secondaires de ces vaccins sont multipliés par 10 par rapport à n’importe quel autre vaccin existant »

[…] Avec ce vaccin, tout n’est pas vraiment clair. Ce qui est clair, c’est qu’avec tous les problèmes d’effets secondaires rapportés, s’il s’agissait de « vaccins normaux », il n’y aurait jamais eu d’autorisation de réaliser puis de poursuivre une vaccination de masse à l’échelle planétaire, avec des rappels multiples. […] Ces vaccins auraient déjà été arrêtés puisque leurs effets secondaires sont multipliés par 10 par rapport à n’importe quel autre vaccin existant. Une multiplication par 10 par rapport à des vaccins classiques qui sont utilisés depuis 20 ou 30 ans, alors que pour celui-ci, on a une utilisation de la fin de l’année 2020 à 2021.

« ce type de rappel (les « boosters », ndlr)  n’a pas de sens, puisque le vaccin actuel est toujours basé sur la protéine Spike du virus de Wuhan, qui a disparu! »

[…] Il y a des voix qui commencent à s’élever contre ces injections multiples un peu partout dans le monde. Par exemple, il y a eu un comité consultatif de sécurité des vaccins en Israël qui s’est très récemment opposé en émettant un avis défavorable sur la quatrième dose.

Il faut comprendre que ce type de rappel n’a pas de sens, puisque le vaccin actuel est toujours basé sur la protéine Spike du virus de Wuhan qui a disparu, et l’efficacité des vaccins dits de première génération est en train de s’effondrer complètement.

Or, ce n’est pas anodin de faire produire cette protéine Spike par les vaccins à ARNm ou à vecteurs viraux. On vous explique que l’on fait un rappel avec une troisième dose vaccinale, puis éventuellement une quatrième dose, afin d’augmenter le taux des anticorps neutralisants. Mais le problème majeur, c’est que lorsqu’on fait un rappel de vaccin pour faire produire cette protéine Spike par nos cellules, on va également faire produire des anticorps facilitants. Il existe également une toxicité directe de la protéine Spike produite.

« Les injections avec les vaccins de première génération devraient être arrêtées. »

[…] Le rapport bénéfice/risque diminue, […] la balance anticorps neutralisants/anticorps facilitants devient encore plus défavorable. Et, bien évidemment, plus il y aura d’injections et plus cela deviendra défavorable. Le risque majeur étant, je tiens à le rappeler, le dérèglement de l’immunité innée et autres effets délétères induits par la protéine Spike vaccinale.

Les injections avec les vaccins de première génération […] devraient être arrêtées. Les variants actuellement présents, le Delta et l’Omicron, sont beaucoup moins dangereux. Si quelques personnes — les plus fragiles — peuvent faire des infections plus graves, la létalité devrait être très faible et pour la très grande majorité des personnes qui contracteront ces variants, l’infection devrait être bénigne.

En revanche, si on continue à injecter toute la population avec des rappels multiples de ces vaccins qui sont dépassés puisqu’ils sont de première génération et qu’ils reposent sur la protéine Spike de Wuhan, on pourrait augmenter les pathologies et la létalité de façon importante à plus ou moins long terme. Et à la place d’être à une fraction de pourcent de mortalité, il pourrait y avoir beaucoup plus — en pourcentage — de formes mortelles.

La protéine Spike vaccinale a un problème majeur qui la rend dangereuse pour les gens vaccinés. Le danger vient du fait qu’il y a une certaine proportion de cette protéine Spike qui est capable de reconnaître le récepteur ECA2 (l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2, qui est le récepteur reconnu par le virus). En effet, le virus Sars-CoV-2 se fixe sur le récepteur ECA2 via sa protéine Spike. Et ce récepteur, lorsqu’il fonctionne normalement en l’absence de virus, a une fonction de dégradation d’une hormone appelée l’angiotensine 2. Mais lorsque le virus est présent et qu’il occupe le site (il se fixe sur le récepteur ECA2), celui-ci va gêner la dégradation de l’angiotensine 2.

Ce récepteur seul est à l’origine de l’activation de nombreuses voies métaboliques qui peuvent être très délétères sur l’organisme. Il s’agit de voies métaboliques indispensables pour un fonctionnement normal du corps humain, c’est-à-dire que ce récepteur est nécessaire au bon fonctionnement du corps humain. Par conséquent, lorsqu’il est suractivé soit par le virus, soit la protéine Spike vaccinale, il se met à dysfonctionner. Étant lié à de nombreux organes et tissus qu’il contrôle, celui-ci devient très délétère.

La vaccination forcée, la « saignée » du 3e millénaire…?

« je souhaite alerter à nouveau (notamment les autorités sanitaires), sur les dangers associés aux rappels vaccinaux multiples, liés à une toxicité directe de la protéine Spike (organes, tissus et système immunitaire) »

Et c’est ce qu’on observe parfois avec les personnes vaccinées qui ont des effets secondaires majeurs, qui peuvent être gravissimes.

[…] Le point important sur lequel je souhaite alerter à nouveau (notamment les autorités sanitaires), ce sont les dangers associés aux rappels vaccinaux multiples, liés à une toxicité directe de la protéine Spike (organes, tissus et système immunitaire), ainsi que les phénomènes ADE et ERD. ERD est l’abréviation de Enhanced Respiratory Diseases (facilitation des maladies respiratoires).

Cette facilitation des maladies respiratoires inclut le phénomène ADE.

[…] Tous ces « boosters » conduisent au dysfonctionnement de l’immunité innée (et par voie de conséquence, de l’immunité adaptative/acquise). Il existe des travaux scientifiques qui montrent que la protéine Spike, ou l’injection répétée et massive d’un vaccin, peut conduire à un dérèglement durable du système immunitaire.

[…]  cela peut avoir pour conséquence d’initier des maladies auto-immunes. Si l’on procède à des injections multiples et massives du même vaccin, il y aura un dysfonctionnement inévitable de l’immunité innée, avec l’apparition de maladies auto-immunes ou une aggravation de celles-ci, voire de cancers, de troubles neurologiques et autres pathologies.

[…] Des maladies auto-immunes diverses peuvent être déclenchées et n’apparaître qu’après plusieurs mois, voire plus d’une année après. Ces effets indésirables peuvent donc être latents et apparaitre tardivement. Pour certaines personnes souffrant de maladies auto-immunes, une aggravation de la maladie peut être observée.

[…] Je crains que l’on se dirige vers une catastrophe sanitaire sans précédent si la politique de rappels multiples avec des vaccins quasiment obsolètes et potentiellement dangereux (compte-tenu de la toxicité démontrée de la protéine Spike vaccinale) se poursuit.

« Il faut arrêter cette fuite en avant avec la vaccination généralisée (notamment des plus jeunes enfants) et les rappels réguliers »

[…] Le problème ne sera même plus l’ADE ou ERD mais pourrait bien être le déclenchement des maladies auto-immunes, des cancers, et autres pathologies. […] La protéine Spike suractive le système rénine-angiotensine qui va altérer l’immunité innée et que le système rénine-angiotensine, impliqué dans de nombreuses voies métaboliques majeures est directement à l’origine (lorsqu’il est suractivé) des thromboses, coagulopathies, myocardites, péricardites, etc.

Il faut arrêter cette fuite en avant avec la vaccination généralisée (notamment des plus jeunes enfants) et les rappels réguliers parce que si l’on continue avec une quatrième dose, une cinquième dose, une sixième dose, ce sera assurément une bonne partie de la population qui sera confrontée à ces effets secondaires latents et potentiellement irréversibles.

Vaccination COVID des enfants, une gigantesque erreur?

Dans les articles de presse, on peut lire qu’il n’y a pas de problème avec la troisième dose, qu’il n’y a guère plus d’effets qu’avec la deuxième dose. Ils écrivent que les effets sont soit équivalents à ceux de la deuxième dose du vaccin Pfizer, soit il y a un peu plus d’effets secondaires, mais rien de méchant. Par conséquent, il n’y aurait pas de problème avec la troisième dose vaccinale…c’est ce qu’ils affirment.

Personnellement, j’ai souligné le fait qu’il y a des problèmes immédiats avec les doses, notamment pour les personnes carencées en vitamine D, etc. Mais les effets secondaires ne s’arrêtent pas aux effets indésirables immédiats. Ce n’est pas parce qu’une personne va avoir de la fièvre pendant deux jours que c’est fini et que le problème est résolu. C’est bien plus sournois que ça.

Ce que l’on voit avec les effets immédiats, c’est la partie émergée de l’iceberg, […] il y a toute une partie immergée qu’on ne voit pas mais le jour où elle sera visible, cela sera catastrophique parce qu’il ne sera pas possible de revenir en arrière. Et là, en injectant des doses conséquentes d’ARN messager au cours des rappels vaccinaux, c’est-à-dire en saturant le système, nous allons obligatoirement vers un dysfonctionnement majeur du système immunitaire et vers des maladies auto-immunes, voire des cancers.

« en poursuivant les injections répétées de cette composition vaccinale imparfaite, nous allons immanquablement dans le mur. »

Il est […] possible d’avoir des vascularites provenant d’une inflammation des vaisseaux sanguins. L’endomètre féminin et les testicules sont également riches en récepteur ECA2, ce qui n’exclut pas un possible effet direct ou indirect de la protéine Spike virale ou vaccinale sur le processus reproductif. Pour rappel, des problèmes menstruels et de fausses couches, ont déjà été rapportés

[…] ]À force de jouer un peu à l’apprenti sorcier en poursuivant les injections répétées de cette composition vaccinale imparfaite, nous allons immanquablement dans le mur. Ces multiples injections sont déraisonnables et dangereuses pour notre santé et je ne comprends pas – il y a quand même un comité scientifique – « qu’ils » ne s’en rendent pas compte (est-il encore utile de rappeler que la protéine Spike vaccinale est potentiellement délétère/toxique et fait dysfonctionner l’immunité innée?)

Il est probable que ce comité scientifique soit obligé de s’aligner sur la politique sanitaire gouvernementale – qui est poursuivie par de nombreux pays – dont la finalité est la vaccination obligatoire pour tous, indépendamment du contexte sanitaire. Ces décisions m’apparaissent follement dangereuses.

En vaccinant avec des rappels multiples et réguliers, ils ne semblent voir qu’une chose : l’augmentation par dix, vingt ou trente, de la proportion des anticorps neutralisants, afin d’augmenter la protection. Ils ne voient pas ou ne tiennent pas compte de tous les aspects négatifs de ces rappels, sur l’organisme et le système immunitaire.

Or, ces effets négatifs sont très supérieurs aux avantages que l’on pourrait avoir […].

La vaccination de masse des enfants est une décision irrationnelle car ils ne font pas de forme létale, sauf cas exceptionnels de comorbidités extrêmes. Il ne peut y avoir que des facteurs négatifs pour les enfants.

Comme ils ont un système immunitaire inné qui répond très fortement, ils vont être encore plus sensibles aux effets délétères de la protéine Spike, […] ils vont faire plus de myocardites, péricardites, etc. Et ces pathologies sont augmentées (jusqu’à 40 fois !) chez les enfants qui ont un système immunitaire particulièrement efficace et très réactif.

[…] La vaccination des enfants n’a pas de justification sanitaire : la létalité est nulle, la protection est faible (et inutile pour eux), et la transmission – sujet de controverse – est faible ou nulle. Le danger pour la santé des enfants est, par contre, maximum.

Le charlatanisme est éternel…

Que nous prenions aussi peu de précautions d’usage avec ces vaccinations et rappels multiples, sans avoir de garde-fous et de recul… j’ai le sentiment que c’est la première fois que l’on voit cela. Les décisions de rappels sont prises sans qu’on les ait étudiées. Alors on lance les rappels, 3ème dose et bientôt une 4ème et 5ème dose? Celles-ci n’ont jamais été étudiées par le fabricant de vaccins […]. Et que penser des rappels en mélangeant un vaccin à adénovirus avec un vaccin à ARN messager? Cela n’a jamais été testé auparavant. Il n’y a pas de données de surveillance, de pharmacovigilance sur des injections vaccinales, par exemple, pour les personnes qui ont reçu au départ un vaccin à ARNm et ultérieurement un vaccin à adénovirus, ou l’inverse.

[…] On marche complètement à l’aveuglette. Nous sommes dans le brouillard total. Les autorités avancent à tâtons en recommandant des vaccinations à tout-va, des rappels à tout-va, avec un recul inexistant.

Les effets secondaires peuvent mettre du temps à apparaître. Ils disent que si on n’a pas constaté des effets secondaires au bout de deux mois, il n’y a pas de problème. Ceci est inexact. On peut avoir des problèmes, par exemple des maladies auto-immunes ou cancers qui vont mettre des mois à apparaître. Mais le jour où ces effets secondaires seront visibles, ce sera trop tard, car il n’est pas possible de faire marche arrière.

« les personnes vaccinées transmettent le virus de la même manière que les personnes non-vaccinées. […] Tous les avantages auxquels on pouvait s’attendre au début de la vaccination ont maintenant disparu ou sont en voie de disparaître. »

Si le bénéfice pour les enfants est nul, il est dit qu’il s’agit d’une mesure pour protéger les plus anciens… ceci n’est même pas le cas puisque les personnes vaccinées transmettent malgré tout le virus. Il existe certaines données expérimentales montrant que les personnes vaccinées transmettent le virus de la même manière que les personnes non-vaccinées. Par conséquent, tous les avantages auxquels on pouvait s’attendre au début de la vaccination ont maintenant disparu ou sont en voie de disparaître. Ces vaccins de première génération deviennent obsolètes tandis qu’ils restent potentiellement dangereux à cause de la protéine Spike vaccinale,

Étant donné que l’on utilise toujours les vaccins de première génération, plus on va avancer dans le temps, plus cela va s’accentuer : ces produits vont devenir de moins en moins efficaces alors qu’ils sont déjà proches d’être obsolètes. Par conséquent, il n’y aura pas d’efficacité pour la protection contre l’infection, il n’y aura pas d’efficacité pour la transmission. Il n’y aura que les inconvénients de ces vaccins et ceux-ci peuvent être très graves.

Il y a de plus en plus de publications scientifiques qui dévoilent les dangers de ces vaccins et de la protéine Spike vaccinale, et cela va crescendo entre les phénomènes ADE / ERD et la toxicité directe de la protéine Spike. Cela va être de pire en pire.

On a l’impression que le débat scientifique, qui aurait dû exister comme dans toute démocratie qui se respecte, n’a pas eu lieu. Que pensez-vous de cette situation?

Effectivement, le débat scientifique n’existe pas. Quand j’écris certains posts sur les effets secondaires des vaccins sur un réseau social, ils sont fréquemment supprimés. Dès qu’on met en avant des dangers qui peuvent être liés à des rappels vaccinaux, c’est directement supprimé. Ils parlent de « fake news » et sur LinkedIn, les posts disparaissent. Personnellement, j’ai eu cinq ou six posts qui ont sauté. À chaque fois, il s’agissait de posts qui montraient que vacciner n’était pas anodin, qu’il peut y avoir des effets secondaires et notamment lors des rappels. Et tout ce qu’on voit à la télé n’est qu’en faveur des vaccins…

Dès qu’on fait valoir un autre point de vue scientifique, on devient un paria, un « complotiste », une personne à qui il ne faut pas donner la parole. […]  les autorités ont lancé une politique de vaccination à tout prix… […] Le but est de vacciner, vacciner et vacciner tout le monde, que ce soit utile ou pas.

Et là, clairement, non seulement c’est devenu inutile avec des vaccins quasi-obsolètes, mais […] cela fait courir des grands dangers sanitaires (à plus ou moins long terme) à la population et aux enfants.

Ces rappels multiples sont pires que tout. Au début, cela pouvait être discutable parce qu’il y avait une certaine efficacité du vaccin. De plus, les effets secondaires majeurs induits par la protéine Spike vaccinale n’étaient pas immédiatement visibles au début de la vaccination de masse. Mais maintenant, c’est flagrant.

Nous sommes face à de sérieux dangers et il est temps d’alerter.

[…] Cet engouement déraisonnable pour la vaccination de masse apparait à l’échelle mondiale, c’est-à-dire qu’on a l’impression qu’il existe un accord, une espèce de consensus entre de nombreux pays pour que le monde se mettre au diapason d’une vaccination à tout-va et de toute la population. C’est ce qui est incompréhensible alors qu’il existe de plus en plus de données scientifiques qui démontrent les effets pervers d’une protéine Spike vaccinale clairement délétère. Mais cela ne les empêche pas de continuer à vouloir vacciner tout le monde…

Le principe de précaution qui devrait primer dans le cadre de la vaccination n’est pas appliqué,

Le comité consultatif de sécurité des vaccins israélien a dit non pour la quatrième dose. C’est une bonne chose, parce que c’est la première fois qu’un comité officiel émet un avis négatif pour la vaccination. Néanmoins, cet avis a été rapidement balayé par le gouvernement qui a imposé une quatrième dose, puis s’est finalement rétracté face à une sérieuse opposition. Ceci montre que les considérations purement sanitaires ne sont pas prioritaires.[…] on se dirige vers une énorme catastrophe sanitaire et qu’il est grand temps de faire marche arrière.

Et ce n’est pas la question d’être antivax. C’est particulier à ce(s) vaccin(s) qui pose(nt) un vrai problème. »

Vaccination de masse, production de masse…

1 réflexion au sujet de « Critique de la vaccination Covid actuelle, opposé à la vaccination des enfants… le directeur de recherches du CNRS serait donc un « complotiste »? »

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