« Omicron est le mieux placé non seulement pour vous souhaiter une bonne année 2022, mais contrairement aux autres souhaits hypocrites que vous recevrez, il est, lui, capable de les réaliser. »
Les chiffres d’omicron commencent à tomber, et « on peut discuter de tout, sauf des chiffres ». Les chiffres ne mentent pas et ne sont pas tendres avec la stratégie du tout vaccin. Certains propos de scientifiques « complotistes » concernant le cumul des doses avec baisse des défenses, semblent se confirmer (également confirmé par les autorités britanniques).
Quant au « vaccin », avec une injection tous les 3 mois, ce n’est plus un vaccin, mais cela devient une thérapeutique génique, qui ressemble trop à ces chimiothérapies que l’on répète aux cancers stades terminaux en attendant la fin. En espérant qu’ici, quand on parle de fin, c’est celle de l’épidémie, qui arrivera en 2022, l’histoire de ces grandes épidémies depuis des siècles étant toujours la même, avec ou sans traitement.
De plus on continue de « vacciner » avec un produit dépassé, fabriqué à partir d’une souche qui a plus de 2 ans, avec nombre de modifications depuis. Les responsables savent très bien qu’ils obligent à vacciner avec un produit qui ne marche pas sur le dernier variant Omicron.
LA VAGUE OMICRON EST PLUS FORTE DANS LES PAYS LES PLUS VACCINÉS
France, Danemark, Islande, Royaume Uni font partie des pays les plus vaccinés, l’Afrique du Sud des moins vaccinés
Chez nous, on aura peut-être du mal à décrocher si on continue de booster, d’autant plus que :
OMICRON SEMBLE PRÉFERER LES VACCINÉS
Voici ce que donne le site officiel d’Islande. Plus on a reçu de doses, plus omicron s’intéresse à nous, ce qui n’était pas le cas avec les variants précédents.
Cette courbe sur 6 mois, montre qu’avec delta, les adultes non-vaccinés étaient plus sensibles que les vaccinés, l’incidence passant de 500/100 000 chez les vaccinés à 800 chez les non-vaccinés. Avec omicron, c’est l’inverse, l’incidence est deux fois plus importante chez les vaccinés : 2 800/ 100 000 contre 1 500 pour les non-vaccinés. De 2 fois moins, on passe à 2 fois plus, soit un rapport de 1 à 4.
Autre courbe qui concerne plus omicron, montrant que depuis mi-décembre, plus on a de doses, plus l’incidence est élevée : les triple doses sont 3 fois plus sensibles, les doubles dose 2 fois plus, que ce soit chez les adultes ou les enfants.
Ces constatations se confirment dans nombre de pays où commence à se développer omicron, et ce selon les sources les plus officielles. Ainsi l’agence Reuter signale qu’aux Etats-Unis on retrouve la même chose avec les premiers cas. Il y a 15 jours, le Centre américain de Contrôle et de prévention des maladies (CDC), signalait que, sur les 43 premiers cas signalés, 34 personnes étaient entièrement vaccinées. Dans la population générale, les vaccinés représentent 61%, mais 75% chez les personnes touchées par omicron, dès les premiers cas.
79% des Danois qui avaient contracté Omicron au 15 décembre étaient entièrement vaccinés. C’est ce qui ressort d’un rapport publié mardi par le Statens Serum Institut (SSI), ministère danois de la santé qui suit les variantes suspectes du COVID-19. Sur les 17 767 infections par Omicron enregistrées au 15 décembre, depuis la déclaration du premier cas le 22 novembre, plus de 14 000 concernaient des personnes ayant reçu une double vaccination.
C’est repris par la presse étrangère, mais pas par la France, où paradoxalement 90% des contaminés par omicron ne seraient pas vaccinés, à entendre les pro-vaccins qui ne s’informent pas.
Dans l’Ontario, pour les nouveaux cas depuis mi-décembre, 4 vaccinés pour 1 non-vacciné.
En Belgique, c’est une fête de soignants, 33 participants doubles et triples vaccinés, 21 contaminations ! Contrairement à la France, la presse se pose des questions sur le sens du pass sanitaire en voyant de tels résultats chez les porteurs du pass ! Chez nous, rappelez-vous ce discours officiel bien relayé par ceux qui accusent les autres de colporter des fake news : un non-vacciné a 12 fois plus de chance qu’un vacciné d’être contaminé !
En Allemagne, l’Institut Robert Koch, dans son dernier rapport hebdomadaire, daté du 30 décembre, rapporte à propos des cas omicron : 95,6% de complètement vaccinés (avec 28% de rappels !), soit 4,4% de pas vaccinés (taux de vaccination dans la population : 71%). En France, on ne publie pas ces chiffres, mais on met les déboires de la gestion de la crise sur ces seuls moins de 5% de non-vaccinés qui vont autant encombrer les hôpitaux que quand ils étaient 100% (l’an dernier), et ce avec un virus beaucoup, beaucoup moins virulent ! Bêtes ou menteurs ?
En France, il y a pourtant de très nombreux témoignages, tous les jours, dans toute la presse. Ainsi dans Ouest France, qui le lendemain va suggérer le contraire avec des infos en contradiction avec ce que l’on constate dans le monde entier.
OMICRON, UN VIRUS TRÈS FAIBLEMENT LÉTAL
Une fois établi cet échec du vaccin contre omicron, avec en plus une certaine affinité pour les doubles et triples vaccinés, la faible létalité d’omicron se précise dans les premiers pays touchés. À tel point que plusieurs pays, comme Israël ou l’Islande, commencent à se poser des questions sur la possibilité d’une immunité collective qui pourrait être obtenue grâce à omicron, alors que cela a été un échec avec ces campagnes vaccinales. En France, nous allons dans l’autre sens, en faisant tout pour vacciner, quitte à diminuer les défenses immunitaires avec le risque de créer d’autres variants ou des formes plus graves. Même l’OMS, qui a poussé aux vaccins au début, n’est pas favorable à cette multiplication de doses.
S’il est difficile de comparer un pays à l’autre du fait de nombre de biais possible, il est plus facile de comparer l’Afrique du Sud à l’Afrique du Sud, pour montrer cette faible létalité.
L’Afrique du Sud a connu 4 vagues très marquées, avec beta, epsilon, delta, et omicron. C’est un pays pas ou très peu vacciné (26%), ce qui ne vient pas perturber les résultats de chaque variant. Les variants sont de plus en plus contagieux.
Je vous avais écrit ce qui allait se passer dès le 30 novembre (Je veux de l’omicron), et le 5 décembre (Actualisation) que les décès allaient doubler, cela a été le cas, doublement par rapport au plus bas sur 2 ans. A part beta ces variants baissent en létalité. Beta a été 30% moins létal qu’epsilon, omicron l’est 7 fois moins que delta, et 10 fois moins qu’epsilon (ceci au pic, encore plus en volume quand on voit la cloche).
Comme on peut le voir sur cette courbe qui réunit les cas et les décès : il y a eu 4 vagues de virus, mais pas de quatrième vague de décès ! (Nous sommes à 15 jours du pic de cas, nous devrions être à peu près au pic de décès.
Certains (comme O. Véran), vous diront qu’on a cette cloche courte en Afrique du Sud car c’est l’été. Pourtant son voisin le Bostwana a le même climat, a vu apparaître Omicron le même jour (peut-être même avant, et qui représente 100% des cas ce jour), ne décroche pas et continue de monter. La seule différence ? Presque 2 fois plus de vaccinés, et a augmenté massivement les vaccinations avec l’arrivée d’Omicron. Résultat : effet contraire, comme en France.
Omicron plus fort que le vaccin, dont il n’a que faire.
Omicron plus fort que le vaccin pour obtenir une immunité collective, plus forte et plus durable.
Omicron plus fort que le vaccin pour diminuer les formes graves : 7 à 10 fois moins.
Quant à Omicron + Ivermectine, qui réduit encore plus hospitalisations et décès (de 75% selon le rapport d’Andrew Hill pour l’OMS), c’est le Nirvana: on va avoir des naissances au lieu de décès. 😉
Dans ces conditions, Omicron est le mieux placé non seulement pour vous souhaiter une bonne année 2022, mais contrairement aux autres souhaits hypocrites que vous recevrez, il est, lui, capable de les réaliser.